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BUTTERFLY ROOM SERVICE
Réécriture et nouveaux formats au Festival de Royaumont
La restitution du travail des interprètes et compositeurs de l'Académie Voix Nouvelles dirigée par Jean-Philippe Wurtz fait peau neuve cette année, en proposant, par l'entremise du metteur en scène et librettiste Antoine Gindt, la création d'un opéra collaboratif : entendons par là un ouvrage lyrique et scénique fruit de l'écriture de huit compositrices et compositeurs, tous lauréats de l'Académie Voix Nouvelles 2024.
(…)
La matrice du projet et l'élément fédérateur est le livret en trois actes, écrit en anglais par Antoine Gindt qui lorgne vers le centenaire de Giacomo Puccini et sa Butterfly : l'histoire, qui ne manque pas de digressions, est actualisée, dans laquelle Gindt réduit le nombre des personnages à trois et inverse les rôles : dans Butterfly Room Service Sakura (alias Pinkerton) est une soprano colorature, tandis que Paruparo (papillon en philippin), jeune employé du room service, est un contre-ténor. Le mari de Sakura, Takao, n'intervient, quant à lui, qu'au troisième acte.
(…)
Le résultat est bluffant, l'écoute toujours sollicitée et l'acuité de l'écriture, tant vocale qu'instrumentale, remarquable. L'engagement des compositeurs autant que des interprètes est patent, porté, il est vrai, par un livret taillé sur mesure qui laisse de l'espace à la musique.
Michèle Tosi, Resmusica, 11 septembre 2024
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Relectures fertiles à Royaumont
(…) Pour Butterfly room service, opéra collaboratif, c’est le livret conçu par Antoine Gindt avec le concours de Cecilia Franco qui transpose et renverse certaines situations inspirées par l’opéra de Puccini. Sakura Hirosaki, femme d’affaires et fine cavalière japonaise séjourne en Allemagne, dans un hôtel où elle ne tarde pas à s’éprendre de Paruparo (« papillon » en tagalog), jeune employé philippin du room service qui se morfond loin de sa Manille natale. De sa chambre d’hôtel, Sakura communique avec le Japon par téléphone, et notamment avec son mari qui n’apparaîtra qu’au dernier acte, dans le même hôtel, servi par le même Paruparo.
(…)
Dans la disposition scénique ouverte de la Salle des charpentes, qui nécessite, outre la direction de Jean-Phillipe Wurtz, le relai de Laure Deval, avec des moyens scénographiques extrêmement restreints, ce spectacle collectivement élaboré et porté par la force motrice de l’Ensemble Linea est une belle réussite.
Pierre Rigaudière, Diapasonmag, 11 septembre 2024
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Et si on réécrivait « Madame Butterfly » ?
Le festival de Royaumont présente « Butterfly Room Service », un opéra collaboratif écrit par huit jeunes compositeurs et compositrices. Antoine Gindt en a conçu le livret, inspiré par l'opéra de Puccini. Pourquoi s’emparer d’un tel classique ? Faut-il actualiser certaines œuvres du répertoire ?
C’est dans l’écrin de l’Abbaye de Royaumont, érigée au XIIIe Siècle, qu’un monument du répertoire lyrique, créé lui en 1904, a été très librement revisité. Avec Butterfly Room Service, Antoine Gindt réinvente Madame Butterfly : « Je m’étais réinterrogé sur cet opéra que j’avais revu en différentes circonstances et je me suis dit : "on parle des livrets de Carmen ou autres, mais pas de Madame Butterfly !" Quand on lit vraiment le sujet, l’argument, la manière dont l'histoire se passe, même si j’accepte tout à fait le contexte de l’époque, cela nous interroge beaucoup. Et j'ai eu envie d'inverser la proposition ».
Sofia Anastasio, France Musique, 10 septembre 2024
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Réécriture et nouveaux formats au Festival de Royaumont
La restitution du travail des interprètes et compositeurs de l'Académie Voix Nouvelles dirigée par Jean-Philippe Wurtz fait peau neuve cette année, en proposant, par l'entremise du metteur en scène et librettiste Antoine Gindt, la création d'un opéra collaboratif : entendons par là un ouvrage lyrique et scénique fruit de l'écriture de huit compositrices et compositeurs, tous lauréats de l'Académie Voix Nouvelles 2024.
(…)
La matrice du projet et l'élément fédérateur est le livret en trois actes, écrit en anglais par Antoine Gindt qui lorgne vers le centenaire de Giacomo Puccini et sa Butterfly : l'histoire, qui ne manque pas de digressions, est actualisée, dans laquelle Gindt réduit le nombre des personnages à trois et inverse les rôles : dans Butterfly Room Service Sakura (alias Pinkerton) est une soprano colorature, tandis que Paruparo (papillon en philippin), jeune employé du room service, est un contre-ténor. Le mari de Sakura, Takao, n'intervient, quant à lui, qu'au troisième acte.
(…)
Le résultat est bluffant, l'écoute toujours sollicitée et l'acuité de l'écriture, tant vocale qu'instrumentale, remarquable. L'engagement des compositeurs autant que des interprètes est patent, porté, il est vrai, par un livret taillé sur mesure qui laisse de l'espace à la musique.
Michèle Tosi, Resmusica, 11 septembre 2024
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Relectures fertiles à Royaumont
(…) Pour Butterfly room service, opéra collaboratif, c’est le livret conçu par Antoine Gindt avec le concours de Cecilia Franco qui transpose et renverse certaines situations inspirées par l’opéra de Puccini. Sakura Hirosaki, femme d’affaires et fine cavalière japonaise séjourne en Allemagne, dans un hôtel où elle ne tarde pas à s’éprendre de Paruparo (« papillon » en tagalog), jeune employé philippin du room service qui se morfond loin de sa Manille natale. De sa chambre d’hôtel, Sakura communique avec le Japon par téléphone, et notamment avec son mari qui n’apparaîtra qu’au dernier acte, dans le même hôtel, servi par le même Paruparo.
(…)
Dans la disposition scénique ouverte de la Salle des charpentes, qui nécessite, outre la direction de Jean-Phillipe Wurtz, le relai de Laure Deval, avec des moyens scénographiques extrêmement restreints, ce spectacle collectivement élaboré et porté par la force motrice de l’Ensemble Linea est une belle réussite.
Pierre Rigaudière, Diapasonmag, 11 septembre 2024
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Et si on réécrivait « Madame Butterfly » ?
Le festival de Royaumont présente « Butterfly Room Service », un opéra collaboratif écrit par huit jeunes compositeurs et compositrices. Antoine Gindt en a conçu le livret, inspiré par l'opéra de Puccini. Pourquoi s’emparer d’un tel classique ? Faut-il actualiser certaines œuvres du répertoire ?
C’est dans l’écrin de l’Abbaye de Royaumont, érigée au XIIIe Siècle, qu’un monument du répertoire lyrique, créé lui en 1904, a été très librement revisité. Avec Butterfly Room Service, Antoine Gindt réinvente Madame Butterfly : « Je m’étais réinterrogé sur cet opéra que j’avais revu en différentes circonstances et je me suis dit : "on parle des livrets de Carmen ou autres, mais pas de Madame Butterfly !" Quand on lit vraiment le sujet, l’argument, la manière dont l'histoire se passe, même si j’accepte tout à fait le contexte de l’époque, cela nous interroge beaucoup. Et j'ai eu envie d'inverser la proposition ».
Sofia Anastasio, France Musique, 10 septembre 2024
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200 MOTELS
Suite Royale
On doit à l'initiative inspirée du directeur Bertrand Rossi cette reprise de "200 Motels – The Suites" à l'Opéra de Nice, aller simple vers l'univers audacieux et inclassable de Frank Zappa. Mis en scène par Antoine Gindt, la soirée se présente sous la forme d'une étonnante expérience visuelle où se croisent humour graveleux et haute virtuosité en forme d'hommage au génie iconoclaste de la musique rock et contemporaine. (…) Sur scène et dans la fosse, les Percussions de Strasbourg, l'Orchestre Philharmonique et le Chœur de l'Opéra Nice Côte d'Azurs sont dirigés par le geste très vif et pulsé de Léo Warynski, parfaitement secondé par le groupe The Headshakers.
David Verdier, Wanderer, 14 décembre 2023
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L'opéra de Frank Zappa diablement bien défendu à Nice.
(…) la production, réglée avec beaucoup d’acuité et d’esprit par Antoine Gindt, est la même que celle qui fut créée, en 2018, à Strasbourg, dans le cadre du Festival Musica, puis donnée, quelques mois plus tard, à la Philharmonie de Paris. Outre une mise en scène ingénieuse – l’action, filmée en temps réel, se déroule simultanément sur le plateau et sur grand écran –, des costumes bariolés d’inspiration « seventies », un décor blanc circulaire, aux allures de show télévisé, des vidéos et des éclairages très étudiés, la réussite du spectacle doit beaucoup aux talents complémentaires des huit fantastiques chanteurs-acteurs, qui rivalisent d’esprit et d’aisance.
Cyril Mazin, Operamag, 12 décembre 2023
Lire ici
A Nice, 200 Motels - The Suites casse la baraque !
(…) Antoine Gindt, qui signe cette nouvelle production pour Nice après avoir déjà mis en scène l’ouvrage lors de sa création à Strasbourg puis à Paris en 2018, se met au service de ces enchaînements de situation et prend un plaisir évident à restituer avec gourmandise cette galerie de portraits brossés – pas vraiment dans le sens du poil ! – parmi lesquels on doit citer ceux de Mark et Howard, les deux chanteurs rock quelque peu ridicules, invités du show TV, de Janet, la journaliste nymphomane, en pamoison devant Frank qu’elle cherche à interviewer et de la soprano solo, illustration de la muse à laquelle le compositeur destine ses innovations musicales…
Hervé Casini, Première Loge, 7 décembre 2023
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200 Motels à l'Opéra de Nice : odyssée excentrique dans l'univers de Frank Zappa
Rapidement, la frontière entre le spectacle et la vie réelle s'estompe. Les artistes conquièrent tout l'espace de l'opéra, déambulant parmi le public, utilisant même les sorties réservées aux spectateurs. Ce choix crée une immersion totale, invitant l’auditoire à être partie intégrante de l'expérience.
Manon Decroix, Bachtrack, 4 décembre 2023
Lire ici
Une folle audace
On ressort de ce spectacle avec des étoiles plein les yeux, convaincu du génie protéiforme de Zappa, à juste titre célébré par une standing ovation.
Florent Coudeyrat, Concertonet, 1er décembre 2023
Lire ici
Critique : 200 Motels - Antoine Gindt / Léo Warynski
La promesse a été tenue : le spectacle présenté par l’Opéra Nice Côte d’Azur dépasse en délire tout que nous avons vu jusque là, ou tout ce que nous avions imaginé sans oser croire le voir un jour…
Alexandre Pham, Classiquenews, 2 décembre 2023
Lire ici
200 Motels : 14 degrés pour une Sacrée soirée à Nice
Antoine Gindt met en images l’extravagance de Zappa, sans en faire trop. (…) Sa force est aussi d’avoir embarqué ses interprètes, qui plongent pleinement dans cet univers insensé, comme s’il était naturel.
Damien Dutilleul, Olyrix, 2 décembre 2023
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Suite Royale
On doit à l'initiative inspirée du directeur Bertrand Rossi cette reprise de "200 Motels – The Suites" à l'Opéra de Nice, aller simple vers l'univers audacieux et inclassable de Frank Zappa. Mis en scène par Antoine Gindt, la soirée se présente sous la forme d'une étonnante expérience visuelle où se croisent humour graveleux et haute virtuosité en forme d'hommage au génie iconoclaste de la musique rock et contemporaine. (…) Sur scène et dans la fosse, les Percussions de Strasbourg, l'Orchestre Philharmonique et le Chœur de l'Opéra Nice Côte d'Azurs sont dirigés par le geste très vif et pulsé de Léo Warynski, parfaitement secondé par le groupe The Headshakers.
David Verdier, Wanderer, 14 décembre 2023
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L'opéra de Frank Zappa diablement bien défendu à Nice.
(…) la production, réglée avec beaucoup d’acuité et d’esprit par Antoine Gindt, est la même que celle qui fut créée, en 2018, à Strasbourg, dans le cadre du Festival Musica, puis donnée, quelques mois plus tard, à la Philharmonie de Paris. Outre une mise en scène ingénieuse – l’action, filmée en temps réel, se déroule simultanément sur le plateau et sur grand écran –, des costumes bariolés d’inspiration « seventies », un décor blanc circulaire, aux allures de show télévisé, des vidéos et des éclairages très étudiés, la réussite du spectacle doit beaucoup aux talents complémentaires des huit fantastiques chanteurs-acteurs, qui rivalisent d’esprit et d’aisance.
Cyril Mazin, Operamag, 12 décembre 2023
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A Nice, 200 Motels - The Suites casse la baraque !
(…) Antoine Gindt, qui signe cette nouvelle production pour Nice après avoir déjà mis en scène l’ouvrage lors de sa création à Strasbourg puis à Paris en 2018, se met au service de ces enchaînements de situation et prend un plaisir évident à restituer avec gourmandise cette galerie de portraits brossés – pas vraiment dans le sens du poil ! – parmi lesquels on doit citer ceux de Mark et Howard, les deux chanteurs rock quelque peu ridicules, invités du show TV, de Janet, la journaliste nymphomane, en pamoison devant Frank qu’elle cherche à interviewer et de la soprano solo, illustration de la muse à laquelle le compositeur destine ses innovations musicales…
Hervé Casini, Première Loge, 7 décembre 2023
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200 Motels à l'Opéra de Nice : odyssée excentrique dans l'univers de Frank Zappa
Rapidement, la frontière entre le spectacle et la vie réelle s'estompe. Les artistes conquièrent tout l'espace de l'opéra, déambulant parmi le public, utilisant même les sorties réservées aux spectateurs. Ce choix crée une immersion totale, invitant l’auditoire à être partie intégrante de l'expérience.
Manon Decroix, Bachtrack, 4 décembre 2023
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Une folle audace
On ressort de ce spectacle avec des étoiles plein les yeux, convaincu du génie protéiforme de Zappa, à juste titre célébré par une standing ovation.
Florent Coudeyrat, Concertonet, 1er décembre 2023
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Critique : 200 Motels - Antoine Gindt / Léo Warynski
La promesse a été tenue : le spectacle présenté par l’Opéra Nice Côte d’Azur dépasse en délire tout que nous avons vu jusque là, ou tout ce que nous avions imaginé sans oser croire le voir un jour…
Alexandre Pham, Classiquenews, 2 décembre 2023
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200 Motels : 14 degrés pour une Sacrée soirée à Nice
Antoine Gindt met en images l’extravagance de Zappa, sans en faire trop. (…) Sa force est aussi d’avoir embarqué ses interprètes, qui plongent pleinement dans cet univers insensé, comme s’il était naturel.
Damien Dutilleul, Olyrix, 2 décembre 2023
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EURYDICE, une expérience du noir
Eurydice aux enfers
Avec l’opéra de chambre Eurydice, donné en création française sur le plateau de l’Athénée, Dmitri Kourliandski et Antoine Gindt se penche à leur tour sur le mythe, en donnant à l’histoire des prolongements inédits.
Michèle Tosi, Hemisphère Son, 15 avril 2022
A l'Athénée, Eurydice expérimente le noir
Sur un texte de Nastya Rodionova, le compositeur Dmitri Kourliandski et le metteur en scène Antoine Gindt offrent une vision personnelle d’un mythe bien connu. Passé et présent se confondent dans un univers dérangeant, régi par la mémoire d’un temps multiple. (…) Inquiétante, oui, cette "expérience du noir". Mais difficile à oublier.
Anne Ibos-Augé, Diapasonmag.fr, 13 avril 2022
Tutta l’angoscia di Eurydice
Al Festival Aperto di Reggio Emilia bel successo per la prima dell’opera di Dmitri Kourliandski su testo di Nastya Rodionova.
« (…) Un universo scenico-sonoro buio, claustrofobico e allucinato, dove la stessa Euridice diveniva simbolo di una solitudine che ha potuto riverberarsi su ognuno dei componenti del pubblico presente. Pubblico che, da par suo, ha seguito questo spettacolo attraverso un ascolto attento, salutando alla fine tutti gli artisti impegnati con applausi convinti. »
« (…) A dark, claustrophobic and hallucinated scenic-sound universe, where Eurydice herself became a symbol of a loneliness that could reverberate on each of the members of the audience. Audience that, for its part, followed this show through a careful listening, greeting at the end all the artists engaged with convinced applause. »
Alessandro Rigolli, Giornale della musica, 24 octobre 2020
Eurydice aux enfers
Avec l’opéra de chambre Eurydice, donné en création française sur le plateau de l’Athénée, Dmitri Kourliandski et Antoine Gindt se penche à leur tour sur le mythe, en donnant à l’histoire des prolongements inédits.
Michèle Tosi, Hemisphère Son, 15 avril 2022
A l'Athénée, Eurydice expérimente le noir
Sur un texte de Nastya Rodionova, le compositeur Dmitri Kourliandski et le metteur en scène Antoine Gindt offrent une vision personnelle d’un mythe bien connu. Passé et présent se confondent dans un univers dérangeant, régi par la mémoire d’un temps multiple. (…) Inquiétante, oui, cette "expérience du noir". Mais difficile à oublier.
Anne Ibos-Augé, Diapasonmag.fr, 13 avril 2022
Tutta l’angoscia di Eurydice
Al Festival Aperto di Reggio Emilia bel successo per la prima dell’opera di Dmitri Kourliandski su testo di Nastya Rodionova.
« (…) Un universo scenico-sonoro buio, claustrofobico e allucinato, dove la stessa Euridice diveniva simbolo di una solitudine che ha potuto riverberarsi su ognuno dei componenti del pubblico presente. Pubblico che, da par suo, ha seguito questo spettacolo attraverso un ascolto attento, salutando alla fine tutti gli artisti impegnati con applausi convinti. »
« (…) A dark, claustrophobic and hallucinated scenic-sound universe, where Eurydice herself became a symbol of a loneliness that could reverberate on each of the members of the audience. Audience that, for its part, followed this show through a careful listening, greeting at the end all the artists engaged with convinced applause. »
Alessandro Rigolli, Giornale della musica, 24 octobre 2020
LA TRAICION ORAL
« (…) L’expérience commence au tout début de la représentation. Dans le programme remis à l’entrée, le spectateur peut trouver un plan (…) : bien que l'orchestre soit au centre, l'action réelle se situe à la périphérie. Quiconque décide d'entrer dans le CETC doit contourner le cœur musical, dirigé par Rut Schereiner, et observer les scènes inquiétantes situées dans les trois ailes : une chapelle avec un crucifix de biais, un banquet avec un rideau rouge (que David Lynch lui-même envierait) et trois téléviseurs avec un signal intermittent. Comme s'il s'agissait d'un musée des horreurs, le public traverse l'espace avec une fascination quasi-touristique jusqu'à ce qu'il soit défié par ceux qui semblaient être leurs semblables : Iván García, Cristian Drut et Teresa Floriach récitent, chantent, crient, dansent et guident les visiteurs dans un parcours sans énonciations évidentes, ni accompagnements redondants de l'orchestre. (…) Le spectateur traverse littéralement et figurativement un espace de significations partielles, déformées et ineffables. Comme la musique de Mauricio Kagel, La traicion oral est une expérience inclassable qui échappe aux catégories rigides de la cognition. »
Ivan Gordin, MusicaClasicaBA, 31 octobre 2018
« La mise en scène d'Antoine Gindt a une approche déambulatoire. L’idée est que le public explore le sous-sol du Teatro Colón, avec sa galerie de gravures méphistophéliques (de Goya, Jacopo Ligozzi, Boticelli et d’autres) et ses ambiances légèrement inquiétantes, ses écrans de télévision projetant des films d’horreur de série B, une chapelle avec des ombres livrées à la prière ; dans le feu de la représentation, d'étranges processions avec une vierge dénudée, un banquet qui se transforme en cène hérétique, une espèce de chorégraphie de morts-vivants, accompagnent les trois acteurs-narrateurs Teresa Floriach, Iván García et Cristian Drut, qui se déplacent en permanence d'un endroit à un autre. La musique de Kagel contrecarre en quelque sorte la dispersion scénique. Certains spectateurs errent, d'autres restent fixes ; quoi qu'il en soit, tout le monde peut entendre clairement le petit orchestre de chambre dirigé par Ruth Schereiner au centre de la pièce. »
Federico Monjeau, Clarin, 27 octobre 2018
« (…) L’expérience commence au tout début de la représentation. Dans le programme remis à l’entrée, le spectateur peut trouver un plan (…) : bien que l'orchestre soit au centre, l'action réelle se situe à la périphérie. Quiconque décide d'entrer dans le CETC doit contourner le cœur musical, dirigé par Rut Schereiner, et observer les scènes inquiétantes situées dans les trois ailes : une chapelle avec un crucifix de biais, un banquet avec un rideau rouge (que David Lynch lui-même envierait) et trois téléviseurs avec un signal intermittent. Comme s'il s'agissait d'un musée des horreurs, le public traverse l'espace avec une fascination quasi-touristique jusqu'à ce qu'il soit défié par ceux qui semblaient être leurs semblables : Iván García, Cristian Drut et Teresa Floriach récitent, chantent, crient, dansent et guident les visiteurs dans un parcours sans énonciations évidentes, ni accompagnements redondants de l'orchestre. (…) Le spectateur traverse littéralement et figurativement un espace de significations partielles, déformées et ineffables. Comme la musique de Mauricio Kagel, La traicion oral est une expérience inclassable qui échappe aux catégories rigides de la cognition. »
Ivan Gordin, MusicaClasicaBA, 31 octobre 2018
« La mise en scène d'Antoine Gindt a une approche déambulatoire. L’idée est que le public explore le sous-sol du Teatro Colón, avec sa galerie de gravures méphistophéliques (de Goya, Jacopo Ligozzi, Boticelli et d’autres) et ses ambiances légèrement inquiétantes, ses écrans de télévision projetant des films d’horreur de série B, une chapelle avec des ombres livrées à la prière ; dans le feu de la représentation, d'étranges processions avec une vierge dénudée, un banquet qui se transforme en cène hérétique, une espèce de chorégraphie de morts-vivants, accompagnent les trois acteurs-narrateurs Teresa Floriach, Iván García et Cristian Drut, qui se déplacent en permanence d'un endroit à un autre. La musique de Kagel contrecarre en quelque sorte la dispersion scénique. Certains spectateurs errent, d'autres restent fixes ; quoi qu'il en soit, tout le monde peut entendre clairement le petit orchestre de chambre dirigé par Ruth Schereiner au centre de la pièce. »
Federico Monjeau, Clarin, 27 octobre 2018
200 MOTELS
« Par quelque morceau que l’on observe cette rutilante boule à facettes qui tournoie sous nos yeux, on y découvre de l’engagement, de la qualité, de la performance… »
Guillaume Tion, Libération, 27 septembre 2018
« Antoine Gindt, à la mise en scène, et Philippe Béziat, pour la vidéo, ont réussi à organiser ce joyeux bordel, jusqu'à dominer les quelques trous d'un livret improbable. Au total l'ensemble emporte l'adhésion et davantage. On se dit que c'était là, dans les années soixante-dix, une œuvre d'un incroyable culot et que ça reste tout aussi vrai aujourd'hui, peut-être même davantage. »
Maurice Ulrich, L'Humanité, 25 septembre 2018
« Imaginant une mise en scène se déployant autour d'un plateau de télévision enchâssé au milieu des musiciens, Antoine Gindt a créé un capharnaüm inspiré dans lequel s'ébattent des chanteurs semblant toujours au bord de la crise de nerf. »
Hervé Lévy, Les Dernière Nouvelles d'Alsace, 23 septembre 2018
« Mais l’événement qui, le dimanche 30 septembre, à 16h, vit confluer vers l’édifice de Jean Nouvel tous les enfants de Zappa venus de Paris et de sa banlieue (et peut-être même de plus loin que Bécon-les-Bruyères), c’était assurément 200 Motels – The Suites, spectacle total (théâtral, opératique, musical, cinématographique, dada) donné neuf jours plus tôt au Zénith de Strasbourg dans le cadre du Festival Musica. Avec Frédéric Goaty, nous étions d’accord : ce show mis en scène par Antoine Gindt était une réussite. Et ne cessa pas de l’être dans la Grande Salle Pierre Boulez de la Philharmonie à l’acoustique incomparable. »
Guy Darol, Jazz Magazine, 2 octobre 2018
« La version scénique préparée par Antoine Gindt, si elle suit d’assez près la trame originale du film, lui confère davantage de cohérence narrative. La grande réussite du metteur en scène est de faire vivre à la fois le plateau, où les protagonistes (chanteurs, acteurs, musiciens de l’orchestre et du rock band, caméramans) entrent en collision permanente, et l’écran qui le surplombe. Réalisé en direct par Philippe Béziat, le film qui y est projeté construit sa propre vision de l’intrigue en allant chercher des plans qui donnent sens à ce qui se passe – confusément – sur scène. Le parallèle avec la musique composite de Zappa fonctionne ici parfaitement. (…) C’est un peu la leçon de l’œuvre de Zappa : la dérision est un art qui implique l’excellence. »
Jean-Guillaume Lebrun, Concertclassic.com, 6 octobre 2018
« La difficulté du pari fait d’autant plus ressortir le talent de l’équipe artistique : Antoine Gindt à la mise en scène, Philippe Béziat à la réalisation vidéo, et Léo Warynski à la direction musicale ont rassemblé leurs forces pour livrer une recréation scénique et musicale non seulement fidèle à l’original, mais en réalité plus aboutie, plus précise. »
Pierre Charbonnier, AOC, 3 octobre 2018
« Par quelque morceau que l’on observe cette rutilante boule à facettes qui tournoie sous nos yeux, on y découvre de l’engagement, de la qualité, de la performance… »
Guillaume Tion, Libération, 27 septembre 2018
« Antoine Gindt, à la mise en scène, et Philippe Béziat, pour la vidéo, ont réussi à organiser ce joyeux bordel, jusqu'à dominer les quelques trous d'un livret improbable. Au total l'ensemble emporte l'adhésion et davantage. On se dit que c'était là, dans les années soixante-dix, une œuvre d'un incroyable culot et que ça reste tout aussi vrai aujourd'hui, peut-être même davantage. »
Maurice Ulrich, L'Humanité, 25 septembre 2018
« Imaginant une mise en scène se déployant autour d'un plateau de télévision enchâssé au milieu des musiciens, Antoine Gindt a créé un capharnaüm inspiré dans lequel s'ébattent des chanteurs semblant toujours au bord de la crise de nerf. »
Hervé Lévy, Les Dernière Nouvelles d'Alsace, 23 septembre 2018
« Mais l’événement qui, le dimanche 30 septembre, à 16h, vit confluer vers l’édifice de Jean Nouvel tous les enfants de Zappa venus de Paris et de sa banlieue (et peut-être même de plus loin que Bécon-les-Bruyères), c’était assurément 200 Motels – The Suites, spectacle total (théâtral, opératique, musical, cinématographique, dada) donné neuf jours plus tôt au Zénith de Strasbourg dans le cadre du Festival Musica. Avec Frédéric Goaty, nous étions d’accord : ce show mis en scène par Antoine Gindt était une réussite. Et ne cessa pas de l’être dans la Grande Salle Pierre Boulez de la Philharmonie à l’acoustique incomparable. »
Guy Darol, Jazz Magazine, 2 octobre 2018
« La version scénique préparée par Antoine Gindt, si elle suit d’assez près la trame originale du film, lui confère davantage de cohérence narrative. La grande réussite du metteur en scène est de faire vivre à la fois le plateau, où les protagonistes (chanteurs, acteurs, musiciens de l’orchestre et du rock band, caméramans) entrent en collision permanente, et l’écran qui le surplombe. Réalisé en direct par Philippe Béziat, le film qui y est projeté construit sa propre vision de l’intrigue en allant chercher des plans qui donnent sens à ce qui se passe – confusément – sur scène. Le parallèle avec la musique composite de Zappa fonctionne ici parfaitement. (…) C’est un peu la leçon de l’œuvre de Zappa : la dérision est un art qui implique l’excellence. »
Jean-Guillaume Lebrun, Concertclassic.com, 6 octobre 2018
« La difficulté du pari fait d’autant plus ressortir le talent de l’équipe artistique : Antoine Gindt à la mise en scène, Philippe Béziat à la réalisation vidéo, et Léo Warynski à la direction musicale ont rassemblé leurs forces pour livrer une recréation scénique et musicale non seulement fidèle à l’original, mais en réalité plus aboutie, plus précise. »
Pierre Charbonnier, AOC, 3 octobre 2018
LA PASSION SELON SADE
« C’est entre les drapeaux français et européen qu’Éric Houzelot investit la scène pour prononcer le discours enflammé de Donatien Alphonse François de Sade : « Français, encore un effort si vous voulez être républicains », judicieusement tuilé par la Sonata Erotica d’Erwin Schulhoff avec laquelle on pénètre de plain pied « dans le boudoir ». Autre chaud/froid très réussi, cette pièce d’orgue (Solo de Bussotti) brutalisant nos oreilles alors que le Marquis de Sade (Éric Houzelot toujours) se dénude lentement et revêt son habit soyeux d’intérieur, dans une temporalité toujours très étirée où chaque geste et attitude requièrent une importance. Dans sa robe-fourreau rouge sang sur fond de velours vert (rideau et lit de repos), Raquel Camarinha est éblouissante, endossant le double rôle de Justine et Juliette. Elle sera fouettée dans un premier temps par son partenaire qu’elle parvient ensuite à dominer et à neutraliser. »
Michèle Tosi, Resmusica, 28 septembre 2017
« Le coup de génie d'Antoine Gindt pour cette heure passée dans le boudoir avec "La Passion selon Sade", c'est d'avoir su marier avec une subtile intelligence quatre oeuvres totalement imbriquées l'une dans l'autre et qui vont rythmer une "passion" qui a des accents christiques. »
lafleurdudimanche, 23 septembre 2017
« C’est entre les drapeaux français et européen qu’Éric Houzelot investit la scène pour prononcer le discours enflammé de Donatien Alphonse François de Sade : « Français, encore un effort si vous voulez être républicains », judicieusement tuilé par la Sonata Erotica d’Erwin Schulhoff avec laquelle on pénètre de plain pied « dans le boudoir ». Autre chaud/froid très réussi, cette pièce d’orgue (Solo de Bussotti) brutalisant nos oreilles alors que le Marquis de Sade (Éric Houzelot toujours) se dénude lentement et revêt son habit soyeux d’intérieur, dans une temporalité toujours très étirée où chaque geste et attitude requièrent une importance. Dans sa robe-fourreau rouge sang sur fond de velours vert (rideau et lit de repos), Raquel Camarinha est éblouissante, endossant le double rôle de Justine et Juliette. Elle sera fouettée dans un premier temps par son partenaire qu’elle parvient ensuite à dominer et à neutraliser. »
Michèle Tosi, Resmusica, 28 septembre 2017
« Le coup de génie d'Antoine Gindt pour cette heure passée dans le boudoir avec "La Passion selon Sade", c'est d'avoir su marier avec une subtile intelligence quatre oeuvres totalement imbriquées l'une dans l'autre et qui vont rythmer une "passion" qui a des accents christiques. »
lafleurdudimanche, 23 septembre 2017
GIORDANO BRUNO
« Au diapason d’une mise en scène idéale d’Antoine Gindt, le premier opéra de Francesco Filidei est probablement l’opéra contemporain le plus magnifiquement expressif de ces dernières années. »
Laurent Vilarem, La Lettre du musicien, 18 avril 2016
« A Strasbourg, Francesco Filidei fait sensation avec son premier opéra.
(…) A l’aplomb d’un énorme demi-globe, la mise en scène d’Antoine Gindt est mue par une direction d’acteurs souveraine. »
Bruno Serrou, La Croix, 22 septembre 2015
« Con Filidei anche l’opera contemporanea sa emozionare.
(…) Spettacolo semplice e coinvolgente, di poche idée ma sempre buone, di Antoine Gindt. »
« Avec Filidei, même l’opéra contemporain sait émouvoir.
(…) Spectacle simple et puissant grâce aux idées toujours bonnes d’Antoine Gindt. »
Alberto Mattioli, La Stampa, 29 septembre 2015 (*****)
« Antoine Gindt e a sua experiente équipa resolveram com extraordinária perícia os desafios cenicos que esta ópera colocou, nomeadamente a necessidade de transformação contínua dos recursos cénicos em função de cada uma das 12 cenas. »
« Antoine Gindt et son équipe expérimentée ont résolu avec une habileté extraordinaire les défis que pose cet opéra, notamment la nécessité d’une transformation continuelle des moyens scéniques en fonction de chacune des 12 scènes. »
Pedro M Santos, Publico, 15 septembre 2015 (*****)
« Au diapason d’une mise en scène idéale d’Antoine Gindt, le premier opéra de Francesco Filidei est probablement l’opéra contemporain le plus magnifiquement expressif de ces dernières années. »
Laurent Vilarem, La Lettre du musicien, 18 avril 2016
« A Strasbourg, Francesco Filidei fait sensation avec son premier opéra.
(…) A l’aplomb d’un énorme demi-globe, la mise en scène d’Antoine Gindt est mue par une direction d’acteurs souveraine. »
Bruno Serrou, La Croix, 22 septembre 2015
« Con Filidei anche l’opera contemporanea sa emozionare.
(…) Spettacolo semplice e coinvolgente, di poche idée ma sempre buone, di Antoine Gindt. »
« Avec Filidei, même l’opéra contemporain sait émouvoir.
(…) Spectacle simple et puissant grâce aux idées toujours bonnes d’Antoine Gindt. »
Alberto Mattioli, La Stampa, 29 septembre 2015 (*****)
« Antoine Gindt e a sua experiente équipa resolveram com extraordinária perícia os desafios cenicos que esta ópera colocou, nomeadamente a necessidade de transformação contínua dos recursos cénicos em função de cada uma das 12 cenas. »
« Antoine Gindt et son équipe expérimentée ont résolu avec une habileté extraordinaire les défis que pose cet opéra, notamment la nécessité d’une transformation continuelle des moyens scéniques en fonction de chacune des 12 scènes. »
Pedro M Santos, Publico, 15 septembre 2015 (*****)
ALIADOS
« Avec les cameramen qui épient chaque geste, chaque objet aussitôt renvoyés sur l’écran, Antoine Gindt se révèle magistral directeur d’acteurs. »
Caroline Alexander, webtheatre.fr, 16 mars 2015
« Le dispositif, la rencontre entre les deux monstres (pseudo)décrépits filmée par la télé et projetée « en temps réel » comme la musique, est utilisé avec une intelligence confondante par Antoine Gindt. »
Christian Fruchart, Les Dernière nouvelles d’Alsace, 8 octobre 2013
« Cela tient du miracle, aujourd’hui, qu’une nouvelle œuvre lyrique puisse voire le jour en s’imposant comme une réussite totale. »
Stéphane Malfettes, Artpresse #404, septembre 2013
« La réalisation vidéo de Philippe Béziat magnifie les détails de la mise en scène d’Antoine Gindt et multiplie les perspectives. Elle donne aussi à voir le jeu stupéfiant des chanteurs… »
Christian Merlin, Le Figaro, 25 juin 2013
« Avec les cameramen qui épient chaque geste, chaque objet aussitôt renvoyés sur l’écran, Antoine Gindt se révèle magistral directeur d’acteurs. »
Caroline Alexander, webtheatre.fr, 16 mars 2015
« Le dispositif, la rencontre entre les deux monstres (pseudo)décrépits filmée par la télé et projetée « en temps réel » comme la musique, est utilisé avec une intelligence confondante par Antoine Gindt. »
Christian Fruchart, Les Dernière nouvelles d’Alsace, 8 octobre 2013
« Cela tient du miracle, aujourd’hui, qu’une nouvelle œuvre lyrique puisse voire le jour en s’imposant comme une réussite totale. »
Stéphane Malfettes, Artpresse #404, septembre 2013
« La réalisation vidéo de Philippe Béziat magnifie les détails de la mise en scène d’Antoine Gindt et multiplie les perspectives. Elle donne aussi à voir le jeu stupéfiant des chanteurs… »
Christian Merlin, Le Figaro, 25 juin 2013
RING SAGA
« Dans la scénographie très dépouillée, le travail finement réglé d’Antoine Gindt apporte une étonnante lisibilité au drame ».
Alain Cochard, concertclassic.com, 14 octobre 2011
« En version light et habits démocratiques, le grand Wagner séduit.
Antoine Gindt a débarrassé sa mise en scène de toute idéologie, comme pour rendre l’œuvre à sa naïveté. »
Marie-Aude Roux, Le Monde, 10 octobre 2011
« Dans la scénographie très dépouillée, le travail finement réglé d’Antoine Gindt apporte une étonnante lisibilité au drame ».
Alain Cochard, concertclassic.com, 14 octobre 2011
« En version light et habits démocratiques, le grand Wagner séduit.
Antoine Gindt a débarrassé sa mise en scène de toute idéologie, comme pour rendre l’œuvre à sa naïveté. »
Marie-Aude Roux, Le Monde, 10 octobre 2011
KAFKA-FRAGMENTE
« Ce spectacle est de toute beauté. (…) Cette production est un enchantement. »
Bruno Serrou, anaclase.com, 29 janvier 2010
« (…) The highlight of the festival for me was Kurtag's Kafka-Fragmente, a setting for soprano and violin of aphoristic, poetic texts from Kafka's diary. It received the most lavish yet haunting staging at the atmospheric Hebbel Theatre. »
Andy Hamilton, Wire #304, juin 2009
« Un spectacle d’une rare exigence. »
Maurice Ulrich, L’Humanité, 5 janvier 2008.
« Ce spectacle est de toute beauté. (…) Cette production est un enchantement. »
Bruno Serrou, anaclase.com, 29 janvier 2010
« (…) The highlight of the festival for me was Kurtag's Kafka-Fragmente, a setting for soprano and violin of aphoristic, poetic texts from Kafka's diary. It received the most lavish yet haunting staging at the atmospheric Hebbel Theatre. »
Andy Hamilton, Wire #304, juin 2009
« Un spectacle d’une rare exigence. »
Maurice Ulrich, L’Humanité, 5 janvier 2008.
THE RAKE'S PROGRESS
« Un habile et poétique “The Rake’s Progress“ à l’Athénée.
Antoine Gindt a réalisé un travail intelligent, lisible, qui, avec quelques éléments décoratifs (dont des dessins dans la manière de Marjane Satrapi en écho aux gravures de William Hogarth), campe les situations de ce conte faustien d'une délicieuse ironie. »
Renaud Machart, Le Monde, 29 novembre 2009
« Vu aussi The Rake's Progress à l'Athénée. La mise en scène est d'Antoine Gindt. Son travail repose sur la gestuelle, les lumières, la direction des chanteurs. Et c'est formidable, de haute qualité musicale et scénique… »
Odile Quirot, NouvelObs.com, 29 novembre 2009
« Un habile et poétique “The Rake’s Progress“ à l’Athénée.
Antoine Gindt a réalisé un travail intelligent, lisible, qui, avec quelques éléments décoratifs (dont des dessins dans la manière de Marjane Satrapi en écho aux gravures de William Hogarth), campe les situations de ce conte faustien d'une délicieuse ironie. »
Renaud Machart, Le Monde, 29 novembre 2009
« Vu aussi The Rake's Progress à l'Athénée. La mise en scène est d'Antoine Gindt. Son travail repose sur la gestuelle, les lumières, la direction des chanteurs. Et c'est formidable, de haute qualité musicale et scénique… »
Odile Quirot, NouvelObs.com, 29 novembre 2009