Lioudka (une bouffonnerie)
Texts / Program
A propos de Lioudka de Eugenia Palekhova*
Trois générations de femmes : Lioudka, le pilier, assume seule le quotidien, entre Lioudka, sa fille et Ba, sa mère, toutes les deux immatures. Tout repose sur elle. Elle se donne sans compter mais craque souvent, persuadée qu’on lui manque constamment de respect. Professeure de danse, elle a développé une théorie comparative entre le tango, la vie et les relations entre les hommes et les femmes. C'est son portrait.
Les scènes se succèdent - comme les personnages masculins qui apparaissent et disparaissent aussi vite - tour à tour cocasses et dures, réalistes et délirantes, claires ou incompréhensibles. Les hommes sont cantonnés à un rôle secondaire, à des fonctions triviales ou utilitaires.
En fait cette pièce parle d’amour, de cet amour que chacun chacune cherche éternellement mais ne trouve pas. La danse, le tango, pour quelques minutes, donne à croire que c’est possible.
Sophie Gindt, 2021
* Née à Tachkent (Ouzbékistan) en 1974, Eugénie Palekhova a étudié à l'Université d'État de Tachkent (faculté de langue et littérature russes).
Dramaturge, romancière, metteur en scène, scénariste pour le cinéma, pour des séries télévisées, scénariste de documentaires.
Participate à plusieurs festivals (lecture de pièces, cinéma et séries télévisées), grand prix du 15e téléfestival international écologique, entre autres récompenses.
Elle vit et travaille à Kaliningrad, Russie.
Trois générations de femmes : Lioudka, le pilier, assume seule le quotidien, entre Lioudka, sa fille et Ba, sa mère, toutes les deux immatures. Tout repose sur elle. Elle se donne sans compter mais craque souvent, persuadée qu’on lui manque constamment de respect. Professeure de danse, elle a développé une théorie comparative entre le tango, la vie et les relations entre les hommes et les femmes. C'est son portrait.
Les scènes se succèdent - comme les personnages masculins qui apparaissent et disparaissent aussi vite - tour à tour cocasses et dures, réalistes et délirantes, claires ou incompréhensibles. Les hommes sont cantonnés à un rôle secondaire, à des fonctions triviales ou utilitaires.
En fait cette pièce parle d’amour, de cet amour que chacun chacune cherche éternellement mais ne trouve pas. La danse, le tango, pour quelques minutes, donne à croire que c’est possible.
Sophie Gindt, 2021
* Née à Tachkent (Ouzbékistan) en 1974, Eugénie Palekhova a étudié à l'Université d'État de Tachkent (faculté de langue et littérature russes).
Dramaturge, romancière, metteur en scène, scénariste pour le cinéma, pour des séries télévisées, scénariste de documentaires.
Participate à plusieurs festivals (lecture de pièces, cinéma et séries télévisées), grand prix du 15e téléfestival international écologique, entre autres récompenses.
Elle vit et travaille à Kaliningrad, Russie.